Méditation du jour

Rappel du premier message :

Semaine du 1 au 7 mai

COURAGE!

— Je présente au Seigneur une situation qui exige un changement et que j’ai de la difficulté à affronter.
— Je demande à l’Esprit Saint de me faire découvrir un petit changement à accomplir dans mon quotidien pour aimer davantage le Seigneur.
— J’expérimente ce changement dans la joie de l’Esprit et la confiance.

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19 décembre

(Luc 1, 5-25) Élisabeth a tout de suite su, elle, que le Seigneur avait entendu sa prière. En ce temps de l'Avent, je me laisse inspirer par sa confiance et sa foi.

21 décembre

(Luc 1, 39-45) Laissons-nous habiter par la joie d'Élisabeth et les mots de l'auteur du Cantique des Cantiques. Déjà, une douce folie nous transporte au sein même du mystère de Dieu qui ose franchir l'espace et le temps pour nous visiter, pour habiter note terre et notre cœur.

23 décembre

(Malachie 3, 1-4.23-24) Dieu est le très saint, le très pur. En lui, aucune trace, aucune idée même du mal. Aussi, il brûle et purifie tous ceux et celles dont il s'approche afin de les rendre saints comme lui-même est saint.

24 décembre

(Luc 1, 67-79) Si j'accueille le salut, le pardon de Dieu, mon être reflétera quelque chose de la lumière de l'astre d'en haut qui est venu nous visiter; il guise vers la paix ceux et celles qui demeurent dans les ténèbres et dans l'ombre de la mort.

26 décembre

(Actes 6, 8-10; 7, 54-60) Dès le lendemain de Noël, la liturgie nous fait passer de l'accueil joyeux au rejet haineux que connaîtront Jésus et, après lui, ses disciples. La venue de Dieu chez les humains suscite amour et haine. La prière, elle, nous garde dans l'amour.

29 janvier

(Marc 4, 1-20) Jamais Jésus ne dit, dans la parabole, qu'il nous fait cesser de semer là où nous ne pouvons pas attendre des résultats à la hauteur de nos efforts. Étrange calcul divin qui déjoue nos préoccupations de rentabilité...

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3 février

(2 Samuel 15, 13-14.30: 16, 5-13a) 18, 1-5) La haine et le désir de vengeance n'ont pas leur place dans le cœur de David. Il sait que son Père du ciel interviendra en sa faveur s'il le veut. Prier, se faire proche de Dieu pour ne pas se laisser dominer par la colère et le ressentiment.

5 février

(Marc 6, 1-6) L'évangile d'aujourd'hui nous dit que Jésus ne peut pleinement agir dans nos vies que si nous lui faisons bon accueil. La foi nous donne la capacité de le voir à l'œuvre tout près de nous et d'assister à tous ses miracles.

15 février

(Marc 8, 1-10) Les anciens Hébreux ont mangé la manne dans le désert pour ne pas mourir. Le Christ, lui, est la nourriture qui nous sauve de la mort spirituelle.

18 février

(Marc 8, 14-21) Comment rester insensible à ce soupir de lassitude qui s'entend dans cette question de Jésus: «Vous ne comprenez pas encore?» Il nous en faut du temps pour comprendre, Seigneur, que tu es le pain et que tu nous offres ta paix.

19 février

(Jacques 1, 19-27) Le meilleur moyen pour garder la parole de Dieu est de «la mettre en pratique dans ses actes». Chaque petit geste de bonté envers autrui devient alors un signe concret de la présence divine dans notre vie.

20 février

(Marc 8, 27-33) C'est encourageant de voir que Jésus a choisi Pierre comme chef de son Église, un homme à la fois si ouvert et si lent à comprendre. Mais ce qui compte vraiment, c'est sa générosité, sa persévérance et, surtout, son amour pour le Christ.

26 février

(Matthieu 6, 1-6.16-18) Alors que nous vivons dans un monde où l'on privilégie le paraître et les gratifications immédiates, Matthieu nous invite à prier discrètement et patiemment, comme Jésus l'a fait en se retirant quarante jours dans le désert.

27 février

(Deutéronome 30, 15-20) Dieu nous parle clairement. Nous sommes libres. Nous pouvons répondre à son amour. Là se trouve le véritable bonheur. Nous pouvons préférer d'autres plaisirs aux exigences de l'amour. Mais ce serait choisir le malheur, l'exil loin de la maison de notre Père du ciel.

3 mars

(Isaïe 55, 10-11) Le Seigneur ne cesse jamais de croire en nous. Il sème constamment et fidèlement sa parole dans notre cœur afin que nous portions du fruit. Que pourrais-je faire pour que ma vie soit à la hauteur de la confiance qu'il me témoigne?

4 avril

(Ézékiel 37, 21-28) Les promesses faites au peuple hébreu s'appliquent également à nous. Dieu veut que nous soyons son peuple et qu'il soit notre Dieu. Et il nous le demande par son Fils Jésus.

14 avril

(Jean 20, 11-18) Même s'il s'apprête à monter vers son Père, Jésus ne se place pas au-dessus des autres. Au contraire, il affirme que nous sommes tous frères et sœurs et qu'un jour nous monterons nous aussi vers le Père.

CINQUIÈME PARTIE
PROVIDENCE, JUSTICE ET MISÉRICORDE

CHAPITRE VI
LA FIN DU GOUVERNEMENT DIVIN

La vie éternelle selon le Nouveau Testament

Très souvent cette expression revient dans les sermons du Sauveur conservés dans les trois premiers évangiles.

Il y est dit de la récompense des justes : «ils ne pourront plus mourir, parce qu'ils seront semblables aux anges, et qu'ils seront les fils de Dieu, étant fils de la résurrection » Luc, XX, 36. - « Les justes iront à la vie éternelle » Matth., XXV, 46, Marc, X, 30. Il n'est pas dit seulement qu'ils iront à la vie future dont ont parlé des philosophes comme Socrate et Platon, mais à la vie éternelle, qui participe à l'éternité de Dieu, au-dessus du temps, du passé, du présent et du futur.

Jésus dit encore, ce qui rappelle la prophétie de Daniel, XII, 13 : « Les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père » Matth., XIII, 43.

« Le Fils de l'homme leur dira : « Venez, les bénis de mon Père, prenez possession du royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde (voilà bien la fin du gouvernement divin). Car j'ai eu faim et vous m'avez donné à manger, j'ai eu soif et vous m'avez donné à boire... vous m'avez recueilli,... vêtu,.., visité... » Matth., XXV, 34.

Dès le sermon sur la montagne Jésus avait dit : « Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu... Réjouissez-vous et soyez dans l'allégresse parce que votre récompense sera grande dans les cieux » Matth., V, 8-12. Voilà la vraie terre promise dont l'Ancien Testament ne parlait guère que par symboles ; les âmes n'étaient pas encore prêtes à recevoir la pleine lumière, elles faisaient l'expérience de leur profond besoin de rédemption.

Dans l'Évangile de saint Jean, Jésus plus souvent encore parle de la vie éternelle. A la Samaritaine : « Si tu savais le don de Dieu !... Celui qui boira de l'eau que je lui donnerai n'aura plus soif ; l'eau que je lui donnerai deviendra en lui une source jaillissant en vie éternelle » Jean, VI, 10-14.

A plusieurs reprises en ce quatrième évangile Jésus dit : « Celui qui croit en moi, a la vie éternelle » Jean, III, 36 ; VI, 40, 47 ; c'est-à-dire : celui qui croit en moi d'une foi vive unie à l'amour de Dieu, a la vie éternelle commencée.

Pourquoi ? Parce que, comme il est dit plus loin dans l'oraison sacerdotale : « la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent toi le seul vrai Dieu et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ » Jean, XVII, 3.

« Père, je veux que là où je suis ceux que tu m'as donnés soient aussi avec moi, afin qu'ils voient ma gloire, la gloire que tu m'as donnée, parce que tu m'as aimé avant la fondation du monde » Jean, XVII, 24. Pour voir la gloire du Christ il faut être où il est lui-même déjà par le sommet de sa sainte âme, dans le ciel. Il le dit lui-même : « Personne n'est monté au ciel, si ce n'est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme qui est dans le ciel » Jean, III, 11-13.

Dans le même sens Jésus a dit : « En vérité, en vérité, je vous l'affirme, quiconque gardera ma parole ne verra jamais la mort » Jean, VIII, 51, et au tombeau de Lazare : « Je suis la résurrection et la vie..., celui qui croit en moi, fût-il mort, vivra ; quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais » Jean, XI, 25-26. Voilà la plénitude de la révélation annoncée de loin par Job, par le Psalmiste, par Isaïe, par Daniel, par le livre des Machabées et par celui de la Sagesse. Ce n'était alors qu'un ruisseau ; maintenant c'est un fleuve immense qui va se perdre dans l'océan infini de la vie divine.

Source : Livres-mystiques.com

Que Jésus Miséricordieux vous bénisse
ami de la Miséricorde

1 Novembre

(Matthieu 5, 1-12) Que devons-nous faire pour obtenir le Royaume ? Vivre comme s'il était déjà là et qu'il constituait notre plus précieux héritage. Ce n'est pas seulement dans l'avenir que nous devons le transmettre et nous en réjouir. Jésus nous invite à le faire dès aujourd'hui.

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Merci Julie !