Méditation du jour

Rappel du premier message :

Psaume 97 -12
Justes, réjouissez-vous en Yahweh, et rendez gloire à son saint nom.



Commentaire :

Dans les périodes difficiles, un simple chant d’action de grâce peut transformer un moment d’épreuve en une occasion de s’abandonner à Dieu. Cette confiance envers le Seigneur, n’est-ce pas une des plus belles preuves d’amour que nous puissions lui donner?

(Luc 6, 12-19) Après un temps de recueillement, d’intimité avec son Père, Jésus guérit des malades et chasse des esprits mauvais. «Une force sortait de lui», précise l’évangéliste. Et si je laissais aussi Dieu me saisir dans la prière, que se passerait-il pour moi et autour de moi?

(Luc 6, 20-26) Avec les béatitudes, il ne s’agit pas d’exalter la pauvreté et le malheur ni de mépriser la richesse et le bonheur. Jésus exhorte plutôt son auditoire à mettre son espérance et son bonheur en Dieu, lui qui ne décevra pas malgré toutes les vicissitudes de la vie. Le bonheur est possible. Sauf qu’il n’est peut-être pas toujours là où on le cherche…

(Colossiens 3, 12-17) Le Christ nous précède sur le chemin du pardon et de l’amour «qui fait l’unité dans la perfection». Avec un tel guide, n’hésitons pas à nous reprendre les uns les autres, pour le plus grand bien de toutes et de tous.

(1 Timothée 1, 1-2.12-14) Le Seigneur n’appelle pas des saints, mais des pécheurs à qui il demande de devenir des saints. Comme Paul, osons nous mettre au service de Dieu. Rendons-lui grâce de nous avoir choisis pour témoigner de notre foi au quotidien.

(Philippiens 2, 6-11) Dans notre marche vers le Royaume, quelle est notre attitude? Sommes-nous serviteurs de tous et de toutes? Acceptons-nous de perdre certains privilèges pour être davantage au service des autres? Nous ne mourrons certes pas sur une croix, mais jusqu’où sommes-nous prêts et prêtes à aller dans le dépouillement?

(Luc 7, 1-10) Le centurion romain ne doute pas un instant du pouvoir de Jésus de guérir son esclave malade. Le Christ nous apprend que c’est cette foi en Dieu qui compte par-dessus tout. Elle est plus forte que tous nos doutes et toutes nos autocritiques, même les plus sévères.

(Luc 7, 11-17) Voilà un miracle grandiose. Mais Jésus n’a pas rendu la vie à un mort pour se faire remarquer. Ce qui s’est passé là est tout simplement que Dieu a visité son peuple et qu’il n’a pu retenir sa compassion pour une mère ravagée par la mort de son fils unique.

(Luc 7, 31-35) Pour accueillir la «sagesse de Dieu», le savoir et la raison ne semblent pas aussi efficaces que la simplicité et la pureté de cœur.

(1 Timothée 4, 12-16) Chercher à être un modèle pour les autres nous paraît pour le moins démodé, peut-être même orgueilleux. Pour Paul toutefois, s’offrir en modèle est un acte d’humilité puisqu’il s’agit d’accueillir le Christ en soi et de le laisser nous transformer en lui.

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(Luc 8, 1-3) Dans la première Église, les femmes étaient très présentes, et comme disciples et comme responsables de certains ministères. Les apôtres ont appris cela de Jésus, qui, le premier, a voulu des femmes à sa suite. Il leur a même confié le plus important des ministères: annoncer sa résurrection!

(Matthieu 9, 9-13) Comme Matthieu, nous avons tous besoin de la miséricorde du Seigneur Jésus. Plus nous bénéficions de sa bonté et de son pardon, plus nous pouvons aimer avec ardeur.

(Luc 8, 16-18) De quelle manière est-ce que j’écoute la Parole? Est-ce que je ne suis pas parfois comme un couvercle qui la cache en ne la mettant pas en pratique?

(Esdras 6, 7-8.12b.14-20) Dieu fait constamment du neuf. Nous pouvons subir des revers, nous sentir en exil, loin de notre cœur et de notre idéal. Gardons confiance, Dieu intervient au moment opportun. Il nous reconstruit de l’intérieur, nous redonnant espoir et élan nouveau.

(Luc 9, 1-6) Ayant goûté à la miséricorde du Seigneur, nous pouvons devenir le cœur et les mains du Fils de Dieu pour consoler, soigner et relever nos frères et sœurs.

(Sagesse 3, 1-9) En faisant allusion à son martyre, Isaac Jogue a écrit: «Ces tourments sont bien grands, mais Dieu est plus grand, il est immense.» Il parlait du bonheur de Dieu. Que suis-je prêt à sacrifier pour que ce bonheur vive et se propage?

(Luc 9, 18-22) Qui est Jésus pour moi, aujourd’hui? Un prophète, un faiseur de miracles, une béquille quand je traverse des temps difficiles ou, comme le pensent les Apôtres, le Sauveur, le Messie qui donne un sens à nos vies?

(Luc 9, 43b-45) Jésus se plaît à entretenir le mystère. Il en dit juste assez à ses disciples pour les faire descendre du nuage de l’admiration, mais pas suffisamment pour qu’ils comprennent tout. C’est sans doute mieux ainsi… Sinon, auraient-ils continué à le suivre?

(Luc 9, 46-50) L’humilité permettra aux Apôtres de se présenter comme de simples serviteurs de la Parole. L’ouverture d’esprit et de cœur les amènera à traiter leurs prochains avec bienveillance. Dans une société ouverte et multiculturelle comme la nôtre, il est bon de tisser des liens pour abattre les préjugés.

(Matthieu 18, 1-5) Il faut se faire petit comme un enfant pour entrer dans le Royaume. Sûrement parce qu’il s’agit d’un royaume d’enfants… celui des enfants de Dieu.

(Psaume 90) Les anges nous prennent sous leurs ailes. Avec une telle protection, pourquoi nous inquiéter du lendemain? Joignons plutôt nos voix aux leurs pour acclamer Dieu!

(Luc 10, 1-12) La mission, c’est l’affaire de toute l’Église. Dieu m’appelle à annoncer son règne qui est tout proche. Jésus m’invite à être, avec audace et courage, témoin de paix, d’amour et d’espérance dans ma famille, au travail, à l’école, dans mon milieu.

(Luc 10, 13-16) L’évangéliste Luc me rappelle aujourd’hui que tout ce que je fais et tout ce que je dis révèle la véritable nature de ma relation avec Dieu. Accueillir un disciple de Jésus, c’est accueillir Jésus et accueillir Jésus, c’est accueillir Dieu.

(Baruc 4, 5-12.27-29) Le prophète lit l’histoire de son peuple selon les rapports de confiance qui l’unissent à Dieu ou d’infidélité qui l’éloignent de Dieu. Avec le Seigneur, salut et joie. Loin de lui, esclavage et exil. Qu’est-ce que cela me dit sur l’histoire actuelle?


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(Luc 1, 26-38) Quand on me propose une tâche qui ne m’est pas familière, ma première réaction en est une d’anxiété et de peur. La réponse de Marie à l’ange me met au défi de croire que Dieu me montre le chemin à suivre et qu’il m’accompagne sur la route. Toujours.

(Jonas 3, 1-10) Ceux que Jonas considérait comme des ennemis de Dieu se montrent ouverts à sa prédication. Aujourd’hui encore, le message d’amour du Père s’adresse à tout le monde et les oreilles attentives ne se trouvent pas seulement entre les murs de nos églises…

(Luc 11, 1-4) Le Christ offre à ses disciples une prière de demande pour que vienne le Royaume qu’il annonce. Un royaume où le nom de Dieu sera sur toutes les lèvres et dans tous les cœurs. Un royaume où chacun aura ce dont il a besoin pour se réaliser pleinement.

(Luc 11, 5-13) Parfois, la peur ou l’anxiété me font oublier même de prier pour chercher un peu de consolation à mes souffrances. Je me remets à la prière seulement une fois la tempête passée. Mais la porte du Seigneur est ouverte en tout temps.

(Luc 11, 15-26) Être disciple de Jésus, c’est contribuer à nouer des liens, à susciter des rapprochements malgré les peurs et les différences. C’est le contraire du diabolique, qui éloigne et divise.

(Luc 11, 27-28) La gloire de Marie n’est pas d’avoir mis Jésus au monde, mais plutôt d’avoir eu assez de foi pour que cela puisse se faire. Écouter la parole de Dieu et la garder n’a pas été plus facile pour elle que pour nous.

(Luc 11, 29-32) Je demande un miracle pour un proche qui souffre d’un cancer et c’est en vain... Ma foi en prend un coup. Mais le miracle de l’instant présent, de l’amour bien vivant autour de moi, pourquoi est-ce que je ne sais pas le discerner, m’en émerveiller et dire merci?

(Romains 1, 16-25) L’évangélisation n’est pas une tâche réservée à Paul; elle incombe à tout chrétien et à toute chrétienne. Acceptons-nous de vivre de la foi et de nous mettre au service de l’Évangile en commençant par le témoignage au quotidien?

(Matthieu 25, 31-40) Il n’en tient qu’à nous de rencontrer Jésus par le biais des personnes qui demandent de l’aide autour de nous. Le Christ ne s’impose jamais. Il se laisse contempler quand nous changeons notre regard sur les autres.

(Luc 11, 47-54) On tue encore des prophètes de nos jours: Gandhi, Martin Luther King, Mgr Romero… On tue aussi, par l’indifférence et le mépris, des personnes bien ordinaires qui ont le courage de parler pour les sans voix. Que s’ouvre mon cœur pour que j’écoute ce que je ne veux pas entendre.

(Luc 10, 1-9) Ce qui touche les gens, c’est la vérité et la profondeur d’une rencontre avec quelqu’un, le Seigneur, qui a bouleversé leur vie. La passion pour le Christ se lit dans la lumière des yeux et le geste de charité.

(Luc 12, 8-12) Dissimuler notre foi irait à l’encontre de l’Évangile qui est, par définition, une Bonne Nouvelle destinée à être entendue. Il nous reste à nous en remettre à l’Esprit Saint qui nous enseignera quoi dire, comme Jésus nous l’a promis.

(Luc 12, 13-21) «Être riche en vue de Dieu», qu’est-ce à dire? Jésus met cela en opposition avec le fait d’amasser pour soi-même. Il s’agit donc non pas de se complaire dans la misère ou de mépriser la richesse mais de veiller à ce que celle-ci serve au bien commun.

(Luc 12, 35-38) Le Christ viendra dans sa gloire et glorifiera celles et ceux qui lui seront restés fidèles. Restons unis à lui. Soyons vigilants et gardons confiance jusqu’à ce qu’il revienne, car ce ne sera pas pour juger, mais pour nous aimer encore plus.

(Luc 12, 39-48) Connaître le Seigneur, notre maître, c’est avoir la responsabilité de travailler chaque jour à son Royaume. Et c’est être appelé à nous donner à la mesure du don qu’il nous a fait.

(Romains 6, 19-23) Pour parvenir à la sainteté, nous sommes appelés à nous ajuster à ce que le Seigneur désire pour nous. En cela, sa grâce nous est d’un secours continuel; quand nous péchons, sa miséricorde nous relève.

(Luc 12, 54-59) Parfois, des situations deviennent désespérées tout simplement parce que nous avons refusé de regarder la réalité en face et d’agir au bon moment. Il en va de même dans notre relation avec Dieu. Jésus nous enjoint de nous réconcilier avec son Père dès maintenant.

(Luc 13, 1-9) On peut perdre la vie à tout moment. Se convertir, c’est bêcher et engraisser le sol de son existence en vue de lui faire porter des fruits qui ne périront pas.

(Éphésiens 2, 19-22) L’Église, le Corps du Christ, c’est ce lieu où j’ai ma place en tant que croyant et disciple du Christ. J’en fais partie non pas seul, mais avec d’autres. Ainsi, Dieu habite en nous et nous fait partager sa gloire.

(Luc 13, 18-21) Le levain dans la pâte exprime la puissance de vie qu’apporte le Christ par sa venue, sa mort et sa résurrection. Il nous transforme jusque dans les profondeurs de notre être.

(Luc 13, 31-35) Laissons de côté le confort de notre quotidien, la sécurité de nos vies pour devenir des chercheurs, des veilleurs, des hommes et des femmes en attente, prêts à accueillir Jésus.

Méditation du jour(Romains 11, 29-36) L’amour de Dieu est à l’opposé du culte des vedettes d’aujourd’hui. Dieu se fait proche de chacun d’entre nous. Nous ne sommes pas en compétition!

(Romains 12, 5-16b) Il n’y a rien de mal à bien se connaître et à aider son prochain selon ses propres habiletés. À chacun ses talents et son charisme.


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(Luc 14, 25-33) Qui a dit que donner la priorité à Dieu était facile? Comme il l’a fait lui-même, Jésus nous demande de porter notre croix.

(Psaume 26) Voir «les bontés du Seigneur» m’aide à continuer d’espérer. À mon tour, aujourd’hui, que puis-je faire pour aider une autre personne à espérer?

(Luc 17, 7-10) Plutôt que de m’attendre à des récompenses, pourquoi ne pas cultiver ma reconnaissance envers le Seigneur?

(Sagesse 6, 1-11) La Sagesse ne se laisse pas impressionner par les titres et les fonctions. Ce qu’elle regarde, c’est la droiture.