Méditation du jour

Rappel du premier message :

Psaume 97 -12
Justes, réjouissez-vous en Yahweh, et rendez gloire à son saint nom.



Commentaire :

Dans les périodes difficiles, un simple chant d’action de grâce peut transformer un moment d’épreuve en une occasion de s’abandonner à Dieu. Cette confiance envers le Seigneur, n’est-ce pas une des plus belles preuves d’amour que nous puissions lui donner?

(Luc 18, 1- 8 ) Dieu se laisse déranger volontiers car la constance de notre prière est pour lui une preuve de notre foi.

(Luc 18, 35-43) Je rends grâce au Seigneur pour toutes les fois qu’il m’a aidé à voir plus clair dans ma vie!

(2 Martyrs d’Israël 6, 18-31 et Luc 19, 1-10) Éléazar et Zachée: toute une vie de vertu couronnée par un geste de foi et toute une vie de péché surmontée par une conversion sincère.

(Luc 19, 11-28) Il n’y a pas de marque de fidélité trop petite pour le Seigneur. Chacun de nos gestes compte.

(Matthieu 12, 46-50) Nous sommes tous frères et sœurs, et tous sur un pied d’égalité, quand nous entrons dans la famille du Seigneur.

(Luc 20, 27-40) Pourquoi tant nous préoccuper des biens matériels et de ce que nous laisserons derrière nous quand nous sommes «héritiers de la résurrection»?

(Luc 21, 1-4) Non seulement cette femme a-t-elle tout donné, mais elle a tout donné tout de suite, sans attendre ni remettre à plus tard sa décision. Voilà ce qui la rend encore plus admirable.

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(Luc 21, 5-11) Je voudrais tout prévoir et connaître à l’avance. Jésus me dit de ne pas avoir peur et de mettre toute ma confiance en lui.

(Cantique Daniel 3) Je louange le Seigneur avec toute sa création. Elle et moi ne formons qu’un.

(Cantique Daniel 3) La noirceur, la nuit et le froid sont aussi l’œuvre du Seigneur. Et sans eux, comment apprécierais-je la lumière, le jour et la chaleur? Il en va de même pour les moments où avoir la foi est plus difficile.

(Daniel 7, 2-14) Tout passe en cette vie, mais l’amour du Seigneur pour tous les peuples reste le même.

(Psaume 121 et Matthieu 8, 5-11) Nous sommes tous frères et sœurs dans la maison de Dieu et nous devons prendre soin les uns des autres. Maître ou serviteur, chef ou subalterne, cela n’a pas d’importance.

(Isaïe 11, 1-10) Jésus est bien celui qu’annonce Isaïe, même si des siècles les séparent. Dieu est fidèle à sa promesse de donner son soutien aux petits et aux pauvres, et de leur accorder sa faveur.

(Matthieu 15, 29-37) Je m’imagine cette foule qui a suivi Jésus en plein désert, sans nourriture, tellement elle a faim de sa parole et de ses enseignements. Et Jésus l’a nourrie de bien des manières!

(Isaïe 26, 1-6) Pourquoi le Seigneur nous protègerait-il sur nos hauteurs où nous nous isolons des autres? Il préfère de beaucoup nous voir marcher vers sa «ville forte» avec la confiance que nous pourrons y vivre ensemble dans sa paix.

(Matthieu 9, 27-31) Il faut souvent avoir la foi pour voir la lumière du Seigneur et non attendre d’avoir vu sa lumière pour avoir la foi. Autrement, les deux aveugles n’auraient jamais osé suivre Jésus et celui-ci n’aurait pas pu répondre à leur demande.

(Isaïe 30, 19-21.23-26 et Psaume 146) La meilleure façon de s’élever est de chanter la louange du Seigneur et de contempler son mystère, et non pas de se construire des tours de défense.

(Luc 1, 26-38) La victoire du Seigneur ne réside-t-elle pas dans le fait même qu’une jeune fille toute simple ait accepté d’être la mère de son Fils?

(Matthieu 18, 12-14) Dieu est prêt à prendre bien des risques pour sauver une seule brebis. Cela va à l’encontre des principes de rentabilité qui gouvernent notre monde. Pour le Seigneur, toutefois, cette brebis vaut plus que tout.

(Isaïe 40, 25-31 et Psaume 102) Le chemin de la foi n’est pas facile. Aujour­d’hui, je demande au Seigneur de renouveler mes forces et mon espérance. Je sais qu’il va m’aider à me relever.

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(Isaïe 7, 10-14; 8, 10 et Luc 1, 39-48) N’hésitons pas à déranger le Seigneur pour lui demander de nous aider à voir ses signes dans le monde d’aujourd’hui. Et si, comme Marie, il faut nous mettre en marche pour les constater, avançons avec confiance… et rapidité.

(Matthieu 11, 16-19) Jean Baptiste et Jésus avaient certainement des manières déconcertantes, voire choquantes, pour leurs contemporains. Ceux qui les ont suivis sont allés au-delà de leurs préjugés et y ont vu l’annonce du Royaume.

(Matthieu 17, 10-13) Même les disciples, qui pourtant côtoient Jésus, ont de la difficulté à comprendre qu’il est le Fils de l’homme. On dirait bien que la foi demande parfois du temps et du recul pour se manifester.

(Matthieu 21, 23-27) La réponse des chefs des prêtres et des anciens a pour seul but de ne rien dire. Jésus sait bien qu’il ne peut y avoir d’échange sans réciprocité. Annoncer le Royaume signifie parfois choisir son moment et son auditoire.

(Genèse 49, 2.8-10) Le pouvoir ou l’autorité ne sont pas de mauvaises choses en elles-mêmes. L’important est de garder en tête que ce pouvoir n’est que temporaire et limité.

(Jérémie 23, 5-8 et Psaume 71) Le Seigneur vivant, celui qui se soucierait des malheureux, était annoncé et attendu depuis des siècles. Il est venu et il est toujours avec nous.

(Luc 1, 5-25) Élisabeth a tout de suite su, elle, que le Seigneur avait entendu sa prière. En ce temps de l’Avent, je me laisse inspirer par sa foi et sa confiance.

(Cantique 2, 8-14, Psaume 32 et Luc 1, 39-45) Il arrive de ces moments de pure joie, où il n’y a absolument rien d’autre à faire — rien! — que de rendre grâce pour la visite du Seigneur dans notre vie et l’accomplissement de sa promesse.

(Malachie 3, 1-4.23-24) Dieu est le très saint, le très pur. En lui, aucune trace, aucune idée même du mal. Aussi, il brûle et purifie tout ceux et celles dont il s’approche afin de les rendre saints comme lui-même est saint.

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(Actes 6, 8-10; 7, 54-60, Psaume 30 et Matthieu 10, 17-22) La parole de Dieu nous parle aujourd’hui de l’Esprit et de l’esprit, c’est-à-dire de l’Esprit Saint qui nous inspire et de la confiance de notre propre esprit en la sagesse du Père.

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(1 Jean 1, 1-4) Devant une bonne nouvelle, ne sommes-nous pas portés à vouloir la partager? N’est-ce pas que notre joie nous semble encore plus grande quand d’autres se réjouissent avec nous?

(1 Jean 1, 5 — 2, 2) La communion avec Dieu passe par la communion des uns avec les autres. Comment puis-je affirmer marcher à la suite du Seigneur, lui qui nous aime, si je n’ai aucune considération pour mon prochain?

(1 Jean 2, 12-17) Et si aujourd’hui je m’accordais une pause de mondanités ou de médias sociaux pour réfléchir à ce qui est important pour moi et me rapprocher de l’amour du Père?

(Jean 1, 1-18) En ce dernier jour de l’année, je médite sur la façon dont je vais exprimer la joie de mon baptême pendant les douze prochains mois. Peut-être en accueillant les jeunes ou les adultes de ma communauté qui entreprennent un parcours d’initiation chrétienne?

Je prends contact avec un membre de ma famille à qui je pourrai apporter un peu de réconfort.

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Méditation du jour(Jean 1, 19-28) Si la Parole demeure en moi, c’est qu’elle me guide dans mes gestes quotidiens. Ma foi se fortifie en toute simplicité au jour le jour, beaucoup plus que par les grands coups d’éclat.

(1 Jean 2, 29—3, 6) Il y a une part d’inconnu sur le chemin proposé par le Seigneur. Et ceux qui marchent à nos côtés peuvent aussi nous surprendre

Méditation du jour(1 Jean 3, 7-10) Amour et justice vont de pair. Comment puis-je prétendre aimer mon prochain si je ne le traite pas de façon équitable?

(1 Jean 3, 22 – 4, 6 et Matthieu 4, 12-17.23-25) Comment reconnaît-on l’amour de Dieu? Comment savoir si nous aimons vraiment? Cet amour-là apporte guérison, libération et lumière. Cet amour-là est audacieux.

(1 Pierre 4, 7b-11) Il n’est pas si facile de pratiquer l’hospitalité. Parfois je me sens envahi ou dépassé par la «visite». Voilà pourquoi c’est une telle marque d’amour.

(1 Jean 4, 11-18 et Marc 6, 45-52) Ce qui est beau et merveilleux nous fait parfois plus peur que les malheurs. Je me prépare le cœur à voir les petits miracles du quotidien, ceux qui nous font dire que l’amour de Dieu est bien parmi nous.

(1 Jean 4, 19 - 5, 4) Nous sommes tous enfants de Dieu. Pour aimer les autres, il faut d’abord s’aimer soi-même. Comment reconnaître mon prochain comme ma sœur ou mon frère si je me crois indigne du Seigneur?

Méditation du jour
(Luc 5, 12-16) Vaincre le monde… qu’est-ce que cela peut vouloir dire? Vaincre le pessimisme ambiant et avoir le courage de l’espérance en la vie éternelle?

(1 Jean 5, 14-21) Être exaucé, c’est déjà savoir que Dieu nous écoute et qu’il nous donne la force et la confiance pour agir en conformité avec sa volonté.

Méditation du jour
(1 Samuel 1, 1- 8 ) J’essaie d’aimer les autres comme Dieu nous aime, c’est-à-dire de les aimer pour ce qu’ils sont et non pour ce qu’ils font.

(Marc 1, 21-28) Si Jésus avait été timide et n’avait pas osé montrer ce dont il est capable, comment aurait-on pu le reconnaître comme le Sauveur?

(Marc 1, 29-39) Jésus aurait très bien pu rester chez ses amis et compter sur sa renommée pour lui amener les foules. Pour lui, il est cependant plus important de partir à la rencontre des autres, de les rejoindre là où ils sont et de les surprendre.

(Marc 1, 40-45) Si je veux être libre et si je crois que Dieu nous a créés à son image, c’est-à-dire libres comme lui, je dois respecter sa liberté aussi. Il y a une différence entre une prière insistante et l’idée que tout m’est dû.

(Marc 2, 1-12) Le pardon me libère de ce qui me fait souffrir ou de ce qui me paralyse dans la vie, que je sois la personne qui pardonne ou la personne qui reçoit le pardon. Mais il faut d’abord oser le demander: à autrui, à soi-même, au Seigneur…

SEMAINE POUR L'UNITÉ CHRÉTIENNE 2014
Pour appuyer une démarche de prière et de réflexion sur le thème «Le Christ a-t-il été divisé?», on trouvera, du 18 au 25 janvier, à la place des méditations, les références des lectures et les prières quotidiennes suggérées pour cette octave.

(Exode 19, 3.8, 1 Pierre 2. 9-10 et Matthieu 12. 46-50)
Dieu de miséricorde, avec tous ceux qui invoquent le nom du Seigneur, même dans notre désunion, nous entendons ton appel à devenir des saints. Tu as fait de nous la race élue, la communauté sacerdotale du roi, le peuple de Dieu. Par le pouvoir de ton Esprit Saint, rassemble-nous dans la communion des saints et donne-nous la force d’accomplir ta volonté et de proclamer la puissance du Christ Jésus notre Seigneur. Amen.

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